•    Pour respirer un peu et faire une pause dans toutes nos inquiétudes face aux évènements qui secouent la France depuis quelques jours, retour vers la période de Noël.

       Epoque où j'ai fait une parenthèse en Auvergne comme souvent à cette époque, généralement les photos et les visites sont rares surtout à cause du temps, mais cette fois-ci, on a eu quelques jours avec un temps calme, lumineux et doux...

       Tout d'abord la découverte étonnante de cette "fleur de Noël" (en fait trouvée au bord d'un chemin le 26 décembre)

     

    Respiration....

     

     

       Puis quelques photos de l'intérieur de l'abbatiale Saint-Austremoine d'Issoire. A deux pas de chez mes parents, elle est classée parmi les églises majeures de l'art roman auvergnat. Une ravissante crèche était installée au pied de l'autel.

     

    Respiration....

     

    Respiration....

     

    Respiration....

     

    Respiration....

     

    Respiration....

     

       Et pour finir, je suis allée faire un petit bonjour au menhir de Pierre Fichade, l'un des plus importants mégalithes auvergnat, il est situé à une quinzaine de kilomètre d'Issoire (entre Champeix et Ludesse) en direction des Monts Dore...

     

    Respiration....

     

    Respiration....

     

       Rarement dans ma vie et celle de mon pays, le terme de "trêve de Noël" entre les attaques sur les marchés de Noël et les attentats des 7 et 8 janvier, n'aura eu autant de sens !

     

     

     


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  • Génial le petit séjour en Auvergne... Et très tranquille. Mais il fallait bien quelque chose pour pimenter le séjour et ce quelque chose, ce coup-ci, c'était la météo.

    En effet, un temps de "fada" s'est invité cette semaine dernière. Après un week-end frais et pluvieux, le temps s'est arrangé avec plusieurs jours de soleil d'affilé, de quoi faire de belles photos. Rien de plus beau qu'un paysage bien vert avec un ciel bleu azur....

    Plutôt frais au début, le beau temps a culminé jeudi avec une chaleur estivale.... De quoi donner envie de se dorer au soleil...

    Mon choix s'est porté sur une petite montagne culminant à 1004 mètres dans un lieu désert avec une vue magnifique (Puy d'Olloix

     

     

    Il faisait 21° à cet endroit, très largement suffisant pour moi surtout en plein soleil... Dans l'après-midi, dans les vallées, la température est montée jusqu'à 26°.

    La végétation de ce puy ressemble étrangement à celle de la montagne provençale avec des genévriers et de l'herbe rase alors qu'à quelques encablures de là, s'étalent des grasses prairies verts émeraude. 

     

     

    Le soleil était tellement généreux que j'ai du assez vite renoncer à ma séance de bronzing... Je précise que je ne suis pas du tout une adepte du bronzage en plein été, par contre j'aime bien lézarder au soleil au printemps car cela fait du bien après une longue période hivernale. De plus, le soleil d'avril est normalement caressant.

    Mais ce jour-là, on se serait cru en plein été.

    Deux jours après, changement de décor....!

     

     

     

    Le thermomètre a entrepris un grand plongeon entre jeudi et samedi laissant place à la neige, mais oui ! dès samedi.

    A l'altitude moyenne où j'étais (600 mètres), c'est rarissime en cette saison... Plus d'un mois après l'équinoxe de printemps....

    Cette farce de la nature a retardé notre retour chez nous d'une journée car pour regagner le sud-est car la radio parlait de conditions très difficiles dans les hauteurs de la Haute-Loire et de l'Ardèche que nous traversons pour rentrer à la maison.

     

    Finalement, le dimanche, les routes étaient bien sèches mais le paysage nous faisait plutôt penser que nous étions en fait pendant la période des fêtes de Noël...

     

    Météo loufoque

    Sur le haut plateau des environs de Costaros (Haute-Loire)

     

    Et au col de la Chavade qui domine la vallée de l'Ardèche, il ne faisait que -1° ! Heureusement, nous étions bien au chaud dans la voiture. Et c'est un temps frais et pluvieux que nous avons retrouvé en Provence.

    Un printemps complétement "fada" en somme !

     

    Heureusement, aujourd'hui c'est la fête celtique de Beltaine qui marque le début de l'été. Alors, j'espère que les dieux vont nous installer le beau temps ce coup-ci !

     

     

     

     

     

     

     


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  •   Je manque d'inspiration en ce moment et je vous fais découvrir ou redécouvrir un texte d'octobre 2011 évoquant un vieux souvenir, une anecdote de mon séjour au Pays de Galles en 1993. 

       Et c'est le décès de Margaret Thatcher qui m'y a fait repenser. Mon blog n'est pas politique mais j'avoue que je n'ai pas ressenti la moindre empathie à son égard alors qu'au contraire, j'ai beaucoup pensé à ces gallois des vallées dont la vie avait été profondément bouleversée à la suite de la fermeture des mines décidées par le gouvernement de la Dame de Fer...

       Donc, si hommage il y a, c'est pour eux...

    Housing-in-Abertillery-005

    Paysage typique des anciennes vallées minières du Pays de Galles (photo du net)

     

     

    Trehafod, vallée de la Rhondda, Pays-de-Galles, 5 décembre 1993 :

     

     

       En 1993, le temps glorieux de l'extraction du charbon dans les vallées du Sud du Pays-de-Galles est déja muséifié, huit ans à peine après les grandes grèves des mineurs que Margaret Thatcher avait réussi à briser....

     

       En pleine vallée de la Rhondda, près du village de Trehafod, l'ancien puit de mine est transformé en attraction pour les touristes mais en ce jour de décembre, il n y a pas foule. Je suis la seule à faire la visite avec deux autres françaises, assistantes de français dans des collèges comme moi. le guide est ancien mineur lui-même, un travail somme toute reposant comparé aux journées qu'il avait passé sous-terre auparavant et au moins il n'est pas au chômage longue durée comme d'autres dans la vallée...

     

       Huit ans seulement après la fin de la grève. Entretemps, le gouvernement conservateur avait fait crée un organisme au nom un peu ronflant que j'ai oublié qui avait favorisé l'implantation de petites entreprises d'industrie de pointe pour recaser tous ces mineurs.

     

       Mais en 93, ces petites usines sont déja fermées et sont envahies par la végétation à croire que l'expérience a très vite tourné court... Ou qu'elle avait été un attrape-nigaud.

     

       Nous entrons dans un grand bâtiment sombre avec un grand écran ou défile un film en noir et blanc, voix de mineurs, images d'archives... On sent que cela fait bien partie du passé, on croirait même que c'est ancien et pourtant tout cela s'était terminé en 1985...

     

       Notre guide est très gallois, direct, simple avec une sorte de réserve, voire même de lassitude comme si tout cela lui réveillait de douloureux souvenirs, souvenirs qui doivent lui revenir en mémoire toutes les fois qu'il accueille les visiteurs et les fait défiler dans ces lieux encore plein de vieux fantômes... C'est quelqu'un de très touchant en tout cas, prévenant avec nous, trop même au goût de Marie-Laure, une belle bretonne rousse qui semble troubler le guide qui, en bon celte, est sans détour mais sans vulgarité. Ma bretonne en restera quand-même choquée à la sortie du musée, il n y avait pourtant pas de quoi !

     

       La visite se termine par l'accés au vestiaire des mineurs et stupeur, tout est resté figé depuis toutes ces années comme si les mineurs, après leur dernier jour de travail, étaient partis précipitament. 

     

       C'est alors que j'ai vu le guide changer, d'aimable et décontracté, il devint plus grave d'un coup.

     

       Les mineurs avaient délibérément choisi de laisser leurs affaires, leurs casques, leurs lampes frontales et leurs habits de travail pendus aux porte-manteaux avant de quitter cet endroit une dernière fois expliqua le guide visiblement très ému.

     

       Pour finir, il alla dans un vestibule et ressorti avec des banderoles. Elles avaient servies pendant la grande grève des mineurs de 84/85. Elles étaient intactes et semblaient avoir été utilisées la veille. Le guide les déplia devant nous.

     

       "Voilà ce qui nous reste de la lutte que nous avons mené avec notre grand leader Arthur Scargill*..." 

     

       Puis il a baissé la tête visiblement très ému et a replié ses banderoles. J'ai bien cru qu'il allait se mettre à pleurer. Mes deux compagnes n'avaient pas trop l'air de comprendre mais en 84/85, elles étaient un peu jeunes sans doute pour avoir entendu parler de ces évènements et un silence-radio s'était abattu après la défaite des mineurs en mars 85. J'avais été mise un peu au courant à l'époque. Je n'aimais pas la Dame de Fer et j'étais pour les mineurs, c'était une évidence pour moi sans trop savoir pourquoi.

     

       Maintenant, je savais.

     

     

    * Arthur Scargill était un syndicaliste britannique qui présidait le Syndicat des Mineurs Britanniques pendant la Grève de 1984/85.

     

       Deux chansons pour illustrer :

     

    La chorale de Treorchy (village de cette vallée), les chorales sont une tradition galloise très implantée dans les vallées minières et celle-ci est l'une des plus réputée.

     

     

     
     
    Et une chanson que j'ai trouvé hier soir sur le net.... Margaret Thatcher et l'époque de ses mandats de premier ministre ont eu au moins quelques effets positifs : inspirer beaucoup de chanteurs et de cinéastes (Les Virtuoses, Billy Elliott, Bread And Roses....)
    Et dans cette vidéo, il est beaucoup question des mineurs.
     

     

     

     


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  •  

    Rêves rebelles

    le car-ferry Saint-Patrick qui assurait la liaison Le Havre-Rosslare (Irlande) dans les années 1980.

     

    Avant d'embarquer sur le ferry, avant de quitter ce pays, je l'ai remarqué, puis j'ai été 

    subjuguée, tout était flou et sans importance autour de lui, y compris les personnes qui 

    m'accompagnaient. 

     

       Il n'a fait que traverser le hall, quelques minutes, quelques minutes gravées dans ma mémoire 

    pour le restant de mes jours, oubliées dans mon inconscient mais qui ont ressurgi un jour de mélancolie, bien longtemps après, au temps de la maturité. 

      

       Son habillement trahit son appartenance à cette société de ferry qui est chargée de 

    me ramener dans mon pays, malheureusement il rentre certainement chez lui au lieu de 

    m'accompagner dans ma traversée et je sens que quelque chose va me manquer, une pièce du 

    puzzle de mon équilibre définitivement perdue.    

       

       En attendant, je suis subjuguée et un élan irrésistible m'attire vers lui, Je l'aime et ce n'est pas un petit caprice de ma part bien que je sois encore si jeune... Une évidence dès la première seconde. 

      

       Ce n'est que l'aboutissement de l'apaisement mon coeur après ces journées d'harmonie 

    retrouvée. Un rapport épiphyte s'étaient tissés entre cette terre et moi sans que rien ne

    soit ni calculé ni programmé. Inattendu et évident à la fois. 

      

       Impression trop forte qui effraye mon âme trop apeurée mais un chemin sage et bien tracé 

    est là pour me ramener sur le rivage de mon atavique trajectoire loin des flots tumultueux des désirs inavoués issus de vies oubliées ou d'existences ignorées, enfouies aux oubliettes des chemins de traverses  soigneusement évités. 

      

       Coeur battant, toute tremblante, je me demande ce que je dois faire : faire demi-tour, courrir vers lui et faire ma vie ici, oublier ma vie actuelle et en réinventer une à contre-courant et à contre bon sens. 

     

         Mais je choisis le raisonnable et l'acceptable et monte sur le bateau en regardant ce jeune 

    homme s'éloigner dont je ne saurai jamais rien et que je ne reverrai jamais. 

     

         Rangé dans le grenier de ma mémoire, il est réapparu bien des années plus tard, 

    Un amour oublié mais pas fossilisé, réminiscence accidentelle, et depuis mon coeur fait de la dentelle... 

      

       Je reviendrai visiter l'île de mes rêves rebelles.....

     

    ------

     

       Ce récit fait partie de ma série "Impressions de voyages" où je relate des anecdotes de mes voyages, série que j'avais abandonné depuis un certain temps !

       J'ajoute à chaque fois une illustration musicale avec une chanson du pays visité datant à peu près de l'époque où se situe mon récit.

       Ici, le groupe "The Waterboys" qui avaient eu un beau succès dans les années 80 en Irlande et dans les Îles Britanniques.

     


     

     

     


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  • Rediffusion d'un article précédement publié le 8 mars 2012... un petit peu remanié. 

     

    Les Diables Rouges

    Cardiff

     

    Cardiff, mars 1994

     

       Je n'y comprend rien en rugby. Pourtant, ce sport est loin de m'être inconnu. j'ai toujours vu le tournoi des cinq nations à la maison, d'autant plus que je suis d'origine auvergnate, patrie de la fameuse ASM, l'équipe de Montferrand... En fait, je ne me suis jamais intéressée aux règles de ce jeu, préférant apprécier le spectacle dans sa globalité.

     

       Et je me souviens du grand Jean-Pierre Rives, avec ses longs cheveux blonds qui me fascinaient et des commentaires de Roger Couderc, encourageant les petits qui pesaient au moins un quintal...

     

     

    Les Diables Rouges

    le "casque d'or du rugby français

     

     

       Et pourtant, je n'y connais rien. Et là, au Pays de Galles, c'est pas mal handicapant. Des stades de rugby, il y en a partout, dans tous les villages. Très souvent, il en est question à la télé. L'Ovalie règne en maître ! Même si le foot fait une bonne concurrence, il est ici question de grandes équipes anglaises comme le Manchester United, un sport bien plus mondialisé et lointain même si j'ai pu voir l'équipe galloise de football se faire battre lors des éliminatoires du mondial 1994.

     

       Un jour, je me suis retrouvée sur les gradins d'un de ces stades, celui de Pontypridd, petite ville à quelques kilomètres de chez moi. je ne savais même pas quand il fallait applaudir ou encourager les joueurs et puis lesquels ? Je n'avais rien contre les deux équipes, d'ailleurs je ne me souviens pas du nom de celle qui était opposée à Pontypridd.... Il faut dire que les noms gallois ne sont pas évidents à retenir et souvent à prononcer surtout ce terrible "ll", sans doute le son le plus difficile à prononcer que j'ai pu rencontrer dans ma vie bien que j'ai étudié l'anglais, l'italien et le russe et ait baragouiné quelques mots en polonais à Varsovie quelques mois auparavant. Une sorte de raclement de gorge, un son que je n'ai jamais arrivé à maîtriser..

     

     Petit exercice de prononciation...

     

    Les Diables Rouges

    Le stade de Pontypridd

     

     

      Quelques mois passent et arrive, le coeur de la tempête rugbystique, le summun de l'ovalie : le tournoi des Cinq Nations. A l'époque, l'Italie ne participe pas encore. J'ai fait quelques petits progrès. Les Gallois sont très forts pour te faire petit à petit entrer dans leur culture, beaucoup d'enthousiasme envers leurs paysages, leur langue, leurs pubs, leurs chorales, les mines et enfin le rugby. Le tout sans agressivité ni arrogance. Ils aiment leur pays et t'y entraîne tout doucement, sans tambour ni trompette. Du moment qu'on ne les confond pas avec les Anglais, tout va bien....

     

       Ici, le rugby est bien moins "bourgeois" qu'en Angleterre, c'est peut-être en partie pour cela que l'équipe galloise me parait encore et toujours, des années après, plus simple et plus sympa que l'équipe anglaise, je suis de parti pris ? Allez savoir...!

     

       Les distractions sont rares à Penygraig, le village minier où je loge alors le week-end, je descend à Cardiff quand je ne vais pas ailleurs découvrir le pays.... Toujours en essayant de ne pas écorcher les noms de lieux 

     

     

       Un jour à mon grand étonnement, je vois déambuler des types avec des grandes jupes.... Mais idiote : ce sont des Ecossais, et les jupes ce sont des kilts. 

       

       Les Ecossais investissent bien-sûr les pubs de la ville. Certains n'ont pas l'humour très fin, ils soulèvent leur kilt pour montrer leurs fesses.... Devant l'air horrifiée de mes copines du moment, déjà traumatisées par la folie douce irlandaise qu'elles avaient découvert peu de temps auparavant.

     

       D'autres plus calmes se promènent dans la rue. Certains d'entre eux sont beaux garçons, beaucoup de bruns aux yeux bleus, teint diaphane. L'occitane Esclarmonde apprécie et elle n'aurait jamais imaginé trouver sexy des types en kilt. Comme quoi, on en apprend tous les jours ! 

    Les Diables Rouges

     

       Quelques semaines plus tard, je suis de nouveau à Cardiff, encore sonnée par mon récent séjour en Irlande. Les Gallois sont chaleureux et fêtards... Changement de décor : je vois dans la rue cette fois, des gens, non pas au teint diaphane, mais plutôt mat, au moins comme moi, avec des bérets basques. Visiblement beaucoup de gens du Sud-Ouest. Je me surprend à les trouver vraiment méridionaux comparés aux gallois car au bout de quelques mois, j'ai fini par, plus que m'habituer au décor, à me fondre dedans et je trouve ces compatriotes que je croise à Cardiff carrément exotiques....

     

    Les Diables Rouges

     

       Des copines ont décidé de voir le match Galles-France dans un pub où l'on a installé un écran géant. Beaucoup de monde, de la bière et de la bonne humeur.  Les français perdent et je me souviens d'un joueur français, Thierry Lacroix, rater une transformation. Les gallois sont contents et le font bruyamment savoir. Puis il s'aperçoivent qu'il y a des françaises parmi eux. Ils sont d'abord un peu embarrassés d'avoir hué les joueurs français devant nous puis finalement, ils nous taquinent puisqu'après tout nous perdons !

     

    Les Diables Rouges

    Thierry Lacroix 

      

    Un autre week-end et là, c'est l'APOTHEOSE, le combat qu'il ne faut surtout pas perdre : le match contre les anglais. J'ai regardé aussi le match dans un pub mais l'ambiance est celle des grands jours, emprunt de gravité. Surtout que mes gallois perdent contre la perfide Albion. Au début je suis quand-même contente puisque les Gallois ont gagné le Tournoi aux points, ce sont eux qui en ont le plus. Mais cette victoire, qui n'arrive pas si souvent (et je suis contente de me trouver dans ce pays juste l'année où ils gagnent) est gâchée par cette défaite, le match qu'il ne fallait pas perdre. Gagner contre les français, c'est bien, mais les Français ne sont pas des ennemis eux, juste de loyaux adversaires alors que les Anglais...

    Dans les rues, les mines sont graves...

     

       Le lendemain, au collège où je travaille, il y a une pile de l'édition du jour d'un journal local. J'en prend un, sur la couverture, il y a le capitaine de l'équipe galloise, Ieuan Evans, et un énorme bandeau proclame : They won (ils ont gagné). Je suis heureuse pour les "Dragons Rouges".

     

     

    Les Diables Rouges

     

    Ieuan Evans brandissant la précieuse coupe...

     

       Musique !!! Evidemment, une qui s'impose, c'est "Land Of My Fathers", l'hymne gallois.... J'ai choisi la version d'Alan Stivell, de son album "Brian Boru" que j'aime beaucoup :

     


     

     


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