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L'été de la Saint-Martin
"On croit mourir pour sa patrie, on meurt pour des industriels."Anatole France
Le célèbre monument aux morts pacifiste de Gentioux dans la Creuse
Le 11 novembre est connu pour être l'anniversaire de l'armistice qui a mis fin à la Première Guerre Mondiale mais ce jour est aussi celui où l'on fête les Martin et comme chez nos amis québécois, il arrive fréquemment que le temps soit ensoleillé et doux d'où le nom d' "été de la Saint-Martin", mais à l'heure où j'écris cet article, je ne peux pas savoir si le beau temps sera effectivement au rendez-vous ce jour-là. En tout cas, mon ami Georges en fait allusion d'une façon magnifique dans cette chanson :
Le grand Georges encore d'actualité avec cette chanson incontournable en ce jour :
Et j'avoue que si j'étais maire, c'est cette chanson que j'aurais envie de faire chanter le 11 novembre pour commémorer cette guerre terrible ainsi que celle-ci :
La vidéo finit par le chant Amazing Grace ce qui me fait penser par ricochet à un autre chant pacifiste qui parle des soldats de l'Empire Britannique qui à cette époque comprenait l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Irlande... Les soldats venus de tous ces territoires, ont payé aussi un lourd tribu nottament à la bataille de Gallipolli dans les Dardannelles.
Peut-être faisait-il beau en cette Saint-Martin 1918, en tout cas, c'était un long hiver qui se terminait....Bonne écoute et bon 11 novembre à tous !
Tags : guerre, martin, novembre, chanson, le
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Commentaires
Bises
Louv'
Très bon choix !
bon week-end
Des moments de l'histoire que l'on voudrait effacer
et dire que tout est fait pour qu'il y ait encore des guerres
Dommage
Bisous et belle soirée
Frueda
Douce journée
Bisous
timilo13christianeMercredi 11 Juillet 2012 à 21:55
N'oublions pas cet alignement de noms sur les monuments aux morts, qui montrent la terrible réalité de cette guerre, où des familles entières ont décimées nous avons un devoir de mémoire à transmettre à nos enfants et petits enfants. Christiane.
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A la fin de chaque repas de famille, notre grand-père nous rappelait, en larmes, sa rencontre avec Clémenceau ... il avait 18 ans, il a vécu la guerre de tranchées et n'a jamais pu surmonter les cicatrices morales des horreurs qu'il a vécues .
Merci de rappeler avec tes mots et tes documents la nécessité d'entretenir le devoir de mémoire .
Plus jamais çà ! et pourtant ...
Bises, Plume .